Les développements sur les plans sanitaire et économique n’ont pas vraiment calmé les inquiétudes des banques. Au contraire, elles auront beaucoup à faire pour désamorcer la bombe à retardement des mauvaises créances. Malgré les amortisseurs mis en place par le gouvernement et Bank Al-Maghrib, les créances en souffrance ont augmenté de 9 milliards de DH depuis le début de l’année à 79 milliards de DH. Le taux de sinistralité s’est établi à 11,6% pour les entreprises alors que 9,4% des crédits accordés aux ménages sont revenus impayés. Lire la suite