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Partir Par Ahlam NAZIH
Le 04/10/2024

Ils partent chaque année par centaines au Québec à la recherche d’un avenir meilleur. Les infirmiers, très demandés au Canada, et à l’international de manière générale, sont... + Lire la suite...

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Edition N° 153 | Le 10/11/1994
Ainsi donc, après maintes hésitations, l'USFP, l'Istiqlal, le PPS et l'OADP arrivent au gouvernement. Nous aurons probablement un Premier ministre de l'Istiqlal ou peut-être de l'USFP. En soi, l'événement sera d'un effet positif sur de multiples plans. Indépendamment de toute considération de majorité ou de minorité, le Maroc devait faire le saut de l'alternance pour que tout un chacun se...
Edition N° 152 | Le 03/11/1994
La Conférence de Casablanca fut un succès personnel pour Sa Majesté le Roi Hassan II. Elle fut également un immense succès diplomatique et d'image. Tout cela aura forcément des retombées positives sur le produit marocain. Cela dit, il faut maintenant tirer les leçons qui s'imposent. Si l'organisation fut de bonne qualité et a réussi à faire face à un raz de-marée de participants, bien des...
Edition N° 151 | Le 27/10/1994
Le processus de paix au Moyen-Orient a été possible parce que, Israël d'un côté et les pays arabes de la région de l'autre, chacun pour sa part menait un raisonnement le conduisant au point du compromis. Les Israéliens sont désormais majoritairement convaincus que les victoires militaires ne peuvent contribuer à insérer leur pays dans son environnement régional. Or, la prospérité d'Israël...
Edition N° 150 | Le 20/10/1994
Peut-être sera-t-il de bon ton, dans quelques semaines ou dans quelques mois, de faire assaut d'imagination pour critiquer l'actuel gouvernement. Ce serait regrettable, car l'équipe gouvernementale sortante n'a pas démérité, au contraire. Certes, il y a eu les fantaisies budgétaires à demi rattrapées aujourd'hui. Mais il y a à porter à l'actif du gouvernement sortant la mise en forme du projet...
Edition N° 149 | Le 13/10/1994
Le projet de Loi de Finances qui est examiné ce vendredi en conseil de gouvernement devra renouer avec la rigueur budgétaire. La Loi de Finances de 1994,ayant oublié ce principe clé de l'étape actuelle, avait pris quelque liberté avant que n'intervienne le redressement. En conséquence, si le Maroc a vécu six mois de fantaisies budgétaires, il faudra pour les compenser qu'il serre la ceinture...
Edition N° 148 | Le 06/10/1994
Au début du programme d'ajustement, M. Jouahri, alors ministre des Finances dans un gouvernement d'Union nationale, le disait déjà. M. Berrada l'a répété pendant six ans: il y a une "inélasticité importante" dans les dépenses de fonctionnement du Budget de l'Etat. Et du temps de M. Jouahri, ses collègues du gouvernement, y compris les hommes des partis politiques, parlaient même de "pléthore" de...
Edition N° 147 | Le 29/09/1994
L'Istiqlal, l'USFP et l'OADP ont publié un communiqué commun à l'occasion de la rentrée politique et sociale. En soi, l'initiative est louable ; elle témoigne du souci d'informer l'opinion publique. Plusieurs remarques quant au communiqué lui-même. D'abord la Koutla n'est plus citée en tant que telle, ensuite le PPS ne fait pas partie des signataires qui sont pourtant sa famille naturelle....
Edition N° 146 | Le 22/09/1994
La Commission nationale chargée de la réforme de l'enseignement et de l'élaboration d'une charte nationale a repris ses travaux cette semaine. Composée de 300 membres, elle piétine dans des débats de procédure. Certes, la participation la plus large était requise mais c'est peut-être au détriment de l'efficacité. En tout état de cause, la tâche sera rude, tant les problèmes de l'...
Edition N° 145 | Le 15/09/1994
Le pays sera-t-il bientôt gouverné avec la participation des partis de la gauche? La question revient avec insistance. et en l'absence d'indications claires, l'ambiguïté demeure. Probablement, un gouvernement d'union nationale sera formé avant la fin de l'année. Tel fut le voeu exprimé par SM le Roi il y a quelques mois. Un changement de gouvernement aussi radical, annoncé à l'avance, aurait...
Edition N° 144 | Le 08/09/1994
Le départ de M. Karim-Lamrani avait été majoritairement interprété dans les milieux d'affaires comme le signe donné par le Maroc d'une relance de la libéralisation. Cette relance devait être la reprise de la modernisation de l'appareil productif pour les biens industriels et agricoles comme pour les services, notamment financiers. Après trois mois et malgré l'état de grâce dont il a...