Manque d’information, opacité des marchés, retard dans la mise en place des mécanismes de protection des consommateurs, panne de régulation, un malaise social général… Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) a passé au crible le contexte, les motivations ainsi que les initiateurs du boycott lancé en 2018. Un mouvement dont la spontanéité et la dimension populaire restent à prouver. Le Conseil, qui a rendu publics les résultats de son étude sur le mouvement, appelle notamment à renforcer la protection des consommateurs, à améliorer l’accès à l’information, à favoriser la concurrence… Lire la suite