×
Des grands, des petits et des anonymes!
Des grands, des petits et des anonymes! Par Mohamed Ali Mrabi
Le 27/09/2024

Avec la nouvelle stratégie numérique 2030, le Maroc ambitionne de devenir une «startup nation». Un axe... + Lire la suite...

Recevoir notre newsletter
Edition N° 5433 | Le 17/01/2019
Le mandat de Driss Mansouri à la tête de l’université Hassan II de Casablanca arrive à son terme. En attendant la fin du processus de sélection de son successeur, un président par intérim a été nommé mardi dernier. Il s’agit de Abderrahim Khalidi, directeur de la nouvelle Ecole supérieure des arts appliqués, qui ouvrira ses portes à la rentrée prochaine. Khalidi, qui n’est pas candidat à la...
Edition N° 5433 | Le 17/01/2019
Parole de Willis Towers Watson, le spécialiste mondial du conseil RH, qui mène des enquêtes annuelles sur les rémunérations. L’opérateur, qui vient de signer un partenariat avec le cabinet marocain LMS, a présenté ses prévisions 2019 mardi dernier à Casablanca. Le Maroc devrait enregistrer une hausse de 4,4%. Corrigée de l’inflation (1,8%), la progression réelle serait de 2,6%, soit la deuxième...
Edition N° 5433 | Le 17/01/2019
Créer un écosystème R&D au Maroc. C’est l’ambition du groupe PSA. Son centre R&D, impliquant plusieurs partenaires, sera renforcé. D’ici la fin de l’année, il comptera quelque 750 employés, selon le directeur de la zone Afrique-Moyen-Orient du groupe, Jean-Christophe Quémard. D’ici 2021, l’effectif sera porté à 4.000. A.Na.  
Edition N° 5432 | Le 16/01/2019
Le cabinet de conseil en organisation et RH, LMS, s’appuie sur un partenaire de taille, Willis Towers Watson, l’un des leaders mondiaux du conseil en RH. Une convention de partenariat devait être signée dans la soirée d’hier mardi, à Casablanca, en marge de la conférence annuelle de LMS. L’objectif est, entre autres, «de se développer ensemble en Afrique, et de monter des outils RH aux standards...
Edition N° 5432 | Le 16/01/2019
L’initiative est rare. La commission Talent, Formation et Employabilité de la CGEM prépare une étude sondant les besoins en compétences des fédérations professionnelles, avec des étudiants de l’université Hassan II de Casablanca. Le patronat s’ouvre ainsi un peu plus sur le monde universitaire. D’ailleurs, la même commission a intégré il y a quelques mois un doyen d’université, Abdellatif Komat (...
Edition N° 5431 | Le 15/01/2019
Ecoles et facultés des universités fusionnées continuent de proposer les mêmes cursus redondants et de former les mêmes profils de diplômés, car chacune opère seule sans concertation avec ses homologues (Ph. L’Economiste) La fusion de deux grandes universités à Casablanca et Mohammedia et deux autres à Rabat s’est déroulée dans la douleur. L’harmonisation des modes de gestion et de...
Edition N° 5431 | Le 15/01/2019
Driss Mansouri, président de l’université Hassan II de Casablanca: «La diversification de la formations est également très importante. Nous préparons déjà des filières, surtout professionnalisantes, de concert avec le ministère, dans le cadre de la réforme de la licence» (Ph. L’Economiste) - L’Economiste: Après avoir consolidé la fusion de l’université Hassan II, quelles sont aujourd’hui vos...
Edition N° 5431 | Le 15/01/2019
La fusion des universités de Casablanca et de Mohammedia  a donné naissance à une méga structure. Elle compte aujourd’hui 116.665 étudiants. C’est la deuxième université la plus peuplée au Maroc, après celle d’Agadir (Ph. Bziouat) Le projet était audacieux, peut-être aussi un peu précipité, et sans précédent au Maroc: La fusion des universités de Casablanca et Mohammedia, et de celles de...
Edition N° 5431 | Le 15/01/2019
Le jeune entrepreneur social a dû mettre fin à la majorité de ses activités lucratives pour se dédier entièrement à son projet d’entrepreneuriat social. C’était la contrepartie de son adhésion à Ashoka. Pour lui, c’est une aubaine, car il pourrait être plus sur le terrain et appréhender de nouveaux défis (Ph. Tibu) Il bosse 7 jours sur 7, de 6H à 23H. Mohamed Amine Zariat est un passionné....
Edition N° 5431 | Le 15/01/2019
Un jeune de 15 à 24 ans sur trois est nini, soit quelque 1,7 million. Les trois quarts sont des filles (1,3 million, contre 366.000 jeunes hommes). La tranche des 18-24 ans est celle qui en compte le plus, avec un taux de prévalence du phénomène de 34,6%. Aucune stratégie ni programme public ne leur est dédié Faire sortir les «nini», ces jeunes ni à l’école, ni en formation, ni en entreprise...