Le dispositif de lutte contre le blanchiment de capitaux a été renforcé au cours des dernières années. Mais ces points faibles entraînent la mise du Royaume sur la liste grise du GAFI. Le Maroc est largement conforme avec 21 recommandations et partiellement avec 12 autres. En revanche, il a été jugé non conforme aux normes du GAFI qui traitent des sanctions financières, de la transparence et bénéficiaires effectifs des constructions juridiques et des passeurs de fonds. Les insuffisances seront en partie corrigées dans le projet de réforme. Le Maroc aura l’occasion de montrer ses efforts d’ici la fin de l’année. Un deuxième rapport de suivi amélioré devant être soumis à la 33e réunion plénière du GAFIMOAN en novembre prochain.
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