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L’avortement «rend service» à la santé publique

Par Faiçal FAQUIHI | Edition N°:5608 Le 07/10/2019 | Partager

Dr Chafik Chraïbi préside l’Association marocaine de lutte contre l’avortement clandestin. Ce gynécologue est le porte-étendard d’une légalisation partielle de l’avortement. En 2018, les juridictions pénales ont traité 35 dossiers d’avortement dont deux ayant entrainé la mort. Le ministère public insère ce chiffre dans sa rubrique «violence contre les femmes». L’avortement relève également des infractions portant atteinte à la famille et aux bonnes mœurs: 54 cas en 2018! Dans le premier cas, la femme est considérée comme victime: elle a été contrainte d’avorter par son mari ou un tiers. Dans le second, elle est plutôt coupable d’avoir volontairement avorté. Ce raisonnement juridique ambivalent interpelle. Un projet de loi est en cours d’examen au Parlement.

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