Ces îlots qui bousculent le système
ingénieur n’est plus une assurance pour trouver un emploi. Plus que des savoirs techniques, les entreprises cherchent des compétences comportementales. Les profils formés par les écoles marocaines d’ingénieurs, notamment publiques, en manquent terriblement. Elles tentent de se rattraper, mais leur retard est énorme. Cela pèse sur l’insertion professionnelle de leurs lauréats, de plus en plus frappés par le chômage.