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De 3,5% en moyenne en 2018, les dépenses des ménages ont ralenti à 2,8% au 1er trimestre malgré le recul de l’inflation (-0,2%). Bien qu’il soit tôt pour tirer des conclusions, le comportement de certains indicateurs n’est guère encourageant. Le recul de l’indice de confiance, le chômage élevé, la baisse des transferts des MRE... se ressentent sur la propension à consommer. La consommation des ménages pèse au moins la moitié de la croissance du PIB durant les années basses. La contribution des autres postes, notamment l’investissement des entreprises et le commerce extérieur, demeure par ailleurs fébrile. Lire la suite
Editorial