Un bouton de rose contre la barbarie
«Rosebud» (bouton de rose), c’est ce titre aussi énigmatique qu’a choisi l’artiste plasticienne Najia Mehadji, pour quatrième exposition à la galerie casablancaise l’Atelier 21. Aussi énigmatique que le suggère le mot murmuré par le richissime Charles Foster Kane, sur son lit de mort, dans le film mythique d’Orson Welles, Citizen Kane.