Le choc économique provoqué par le coronavirus, la difficulté à disposer d’informations fiables sur la durée et l’impact de la crise sur les emprunteurs compliquent l’analyse du risque. L’approche prospective du modèle de dépréciation d’IFRS 9 accroît l’effort de provisionnement, néanmoins, la facture de la crise aurait été bien plus lourde sans les mesures d’aides publiques, les assouplissements accordés par Bank Al-Maghrib, et sans doute, un usage souple des principes comptables de l’IFRS 9. Lire la suite