Jadis ignorés pour leurs mises en garde d’une faillite, des créanciers de la Samir exigent aujourd’hui une reddition des comptes. La liquidation de la compagnie pétrolière risque de s’étendre aux PDG, directeur général et aux membres du conseil d’administration. Crédit du Maroc, au même titre que le liquidateur, formule la même requête. Quatre autres sociétés du groupe sont concernées par l’extension de la liquidation à leurs biens. Principal reproche au management et à son organe de décision: la faute de gestion. La confusion de patrimoine pèse en revanche sur les filiales. Le verdict du tribunal de commerce de Casablanca est très attendu ce lundi 5 novembre. Lire la suite