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Dialectique
Dialectique Par Mohamed Ali Mrabi
Le 23/12/2024

Pas de régionalisation effective sans déconcentration administrative pleinement opérationnelle. C’est l’une des principales conclusions des Assises de la... + Lire la suite...

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Directrice des rédactions – Groupe Eco-Médias

Edition N° 5615 | Le 16/10/2019
La World Policy Conference a posé ses bagages d’été indien à Marrakech (Cf. édito et comptes rendus, L’Economiste édition n°5613 du 14 octobre 2019). Et ce grâce au soutien important mais discret de l’OCP, via son think tank l’OCP Policy Center dirigé par le Pr. Aynaoui. L ’IFRI, un des plus anciens centres indépendants d’études français, a 40 ans aujourd’hui. Il a été monté par Thierry de...
Edition N° 5612 | Le 11/10/2019
C'est toujours comme ça: pendant des jours, on fait et défait le gouvernement. Et puis, quand la photo arrive… il manque ceux-ci, ceux-là! Il y a de vieux chevaux de retour, pas assez de jeunes et trop d’inconnus… Que chacun se rassure, on est tous pareil (y compris l’auteur de cette colonne). Que voulait l’opinion publique? D’abord, un Roi plus présent. Officiellement, rien n’est dit,...
Edition N° 5611 | Le 10/10/2019
La photo montre un banc en métal, joliment fait (Cf. L’Economiste du 9 octobre 2019). C’est un banc de jardin public. De jardin, il n’y en a plus. Le vent a poussé des papiers et mika sales. Le banc les a retenus. Pas un brin d’herbe. Devant le banc, trois troncs d’arbres mal débités retiennent aussi les déchets et saletés. Quelqu’un a-t-il tenté de voler des arbres? Peut-être. Les hammams...
Edition N° 5610 | Le 09/10/2019
Le PPS mériterait une étude de marketing. C’est un modèle de rentabilisation. Le meilleur de tous: peu de voix, beaucoup de ministres. D’abord, disons haut et fort que son chef actuel fut un excellent ministre de l’Information: il a déverrouillé toutes sortes de portes, qui laissaient parfois des ministres sans données sur leurs propres domaines. On revient de loin! Le PPS et son chef...
Edition N° 5608 | Le 07/10/2019
Il n’aurait suffi que de quelques jours pour que le kidnapping des filiales de l’ONDA et de la RAM révèle ses tares, qui ont, semble-t-il, coûté entre 8 et 10 millions de DH par mois. C’est pas mal. Il n’est pas question d’exonérer ici les responsabilités managériales et ministérielles. Nous y reviendrons. A l’occasion de la stratégie de rétablissements du service public des institutions...
Edition N° 5607 | Le 04/10/2019
Aujourd’hui vendredi 4 octobre 2019 et jusqu’au samedi matin, le magnifique Palais des Roses de Rabat accueillera le colloque d’une fédération toute neuve. C’est une fédération d’entreprises, initiée par Neila Tazi, soutenue par le ministre Mohamed Laarej. Dans un domaine annexe, la référence absolue, c’est évidemment Mehdi Qotbi: il a monté en dix-sept mois un projet bloqué depuis des...
Edition N° 5605 | Le 02/10/2019
Ce fut sans doute la première grève de l’histoire du Maroc: à la fin du XIXe siècle, les bateliers du Bouregreg ont refusé de faire la traversée parce que le Sultan Moulay Hassan Ier projetait de construire un pont, celui qui fut le plus près de l’Océan. Les pessimistes regarderont peut-être cet arrêt de travail comme la preuve d’une opposition  spontanée et systématique aux changements....
Edition N° 5604 | Le 01/10/2019
Rarement une investigation de la Cour des comptes a attiré autant de commentaires offusqués, dans les médias et aussi chez les princes des médias que sont les salons. L’Onssa (Office national de sécurité sanitaire des produits alimentaires) a longtemps occupé les commentaires, plus longtemps, disent les rieurs, qu’il n’a retenu l’attention de magistrats de la Cour. La raison est évidente:...
Edition N° 5603 | Le 30/09/2019
Lors de l’Assemblée générale de l’ONU, invitation a été transmise au président turc, Erdogan. La première visite en 2013 s’était assez mal passée. Plutôt par la faute du gouvernement Benkirane. De nombreux PJDistes marocains nourrissent une grande admiration pour leur homonyme, le PJD turc (AKP).  Bien naturellement, mais avec beaucoup de présomption, les premiers ont tenu à recevoir celui...
Edition N° 5602 | Le 27/09/2019
Jacques Chirac, c’est la dernière fois que la France a eu un doigté arabe. Un doigté plus qu’une politique, car il y eut des hésitations ou des difficultés de mise en œuvre. On n’a pas oublié son geste de colère, en 1996, contre les agents de sécurité israéliens. Ils avaient si étroitement encadré le Président français qu’ils l’avaient hermétiquement isolé de la population. Il s’agissait...