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Se battre
Se battre Par Ahlam NAZIH
Le 05/09/2024

Chère la rentrée scolaire pour les parents. Dans le privé, le prix du cartable avec fournitures et manuels peut coûter trois fois plus que dans le public (voir notre... + Lire la suite...

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Edition N° 6815 | Le 26/07/2024
Computing has become too serious a matter to be left to computer scientists. An outage like the one on Friday, July 22, 2024, could wreak havoc as it spreads through connected economies like a pandemic, since IT also has its viruses. A few months ago, Instagram was already cut off, and tomorrow it could be Google with all its Android smartphones and Gmail mailboxes. These giants are...
Edition N° 6811 | Le 22/07/2024
   L'informatique est devenue une chose trop grave pour la laisser aux informaticiens. Car une panne comme celle de vendredi peut faire de gros dégâts en se propageant dans les économies connectées, telle une pandémie, l’informatique ayant aussi ses virus. Déjà, il y a quelques mois, Instagram était coupé, demain ce sera peut-être Google avec tous ses smartphones sous Android et les boîtes...
Edition N° 6805 | Le 12/07/2024
There are those who have power through legality, and those who have it through their ability to pester. In a democracy, power is usually in the hands of parliament, but sometimes it is in the streets. And when it is difficult to form a government, as in France, where each political bloc swears it will not ally itself with the other, people in the street are all up in arms. There is no...
Edition N° 6802 | Le 09/07/2024
Il y a ceux qui ont le pouvoir par la légalité et ceux qui l’ont par leur  capacité de parasitage. En démocratie, le pouvoir est en principe au Parlement, mais parfois il est dans la rue. Et quand il est difficile de former un gouvernement, comme  en France, où chaque bloc jure qu’il ne s’alliera pas à l’autre, la rue est ouverte. Il n’est pas question ici de donner des leçons politiques à...
Edition N° 6795 | Le 28/06/2024
One day, a French village found itself without a baker. Not a single baguette. The only baker, tired of hearing the French people repeat « I don’t like foreigners eating French people’s bread», went back to his own country. This parable by a famous humorist dates back 60 years, but remains topical on the eve of the elections in France, which Moroccans are following for several reasons....
Edition N° 6793 | Le 26/06/2024
Un jour, un village français s’est retrouvé sans boulanger. Pas la moindre baguette. L’unique boulanger, lassé d’entendre les Français répéter «je n’aime pas les étrangers qui mangent le pain des Français», est reparti dans son pays. Cette  parabole d’un célèbre humoriste date de 60 ans, mais reste d’actualité à la veille des élections dans l’Hexagone, que les Marocains suivent pour...
Edition N° 6767 | Le 17/05/2024
«Des chiffres et des lettres» («Numbers and letters»). It is an old French TV show, and a formula that Mr. Akhannouch introduced to Parliament. He was to present «a balance sheet», i.e. a series of figures, to a particular General Assembly, that of the deputies. He held up signs with figures and curves to show his Government’s mid-term achievements. It’s so innovative that we remember the...
Edition N° 6763 | Le 13/05/2024
Des chiffres et des lettres. C’est une vieille émission de TV française, et une formule que M. Akhannouch a introduite au Parlement. Il devait présenter «un bilan», donc une série de chiffres, à une Assemblée générale particulière, celle des députés. Il a brandi des pancartes avec des chiffres et des courbes pour montrer les réalisations de son gouvernement à mi-mandat. C’est tellement...
Edition N° 6757 | Le 03/05/2024
Let’s not spoil the celebration, especially that of the Labor Day. This May 1st has never been so pleasant; union leaders didn’t have to shout their demands from the loudspeakers... these demands had been met the day before. With the announced wage increases, union leaders regained some of the credibility that the «coordinating committees» of workers had challenged in the education sector...
Edition N° 6756 | Le 02/05/2024
Ne gâchons pas la fête, surtout celle du travail. Ce 1er Mai n’a jamais été aussi sympathique; les leaders syndicaux n’ont pas eu à hurler dans les hauts-parleurs leurs revendications… elles avaient été satisfaites la veille. Avec les augmentations annoncées, ils retrouvent un peu de crédibilité, que les «coordinations» avaient défiée dans l’enseignement: ils signaient l’accord, elles...