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Parasitages
Parasitages Par Mohamed CHAOUI
Le 03/12/2024

L’administration des douanes s’inscrit visiblement dans une parfaite cohérence avec les stratégies publiques et la profondeur des réformes lancées par le Maroc.

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Cyrielle Gauvin est avocate et co-fondatrice du cabinet Aœdé. Elle dédie sa pratique au marché de l’art et aux industries créatives et culturelles. Avant d’exercer en tant qu’avocate, elle a développé sa connaissance de ces secteurs au sein du département Art & Finance chez Deloitte, à Luxembourg, puis des départements Art post-guerre et contemporain et Art impressionniste et moderne chez Christie’s, à Londres (crédit:©Charouble, 2023).

Edition N° 6892 | Le 22/11/2024
Aujourd’hui, seul le régime de la contrefaçon, exposé dans L’Economiste du 26 août 2024, semble spécifiquement participer au dispositif de lutte contre la fraude artistique. Mais son efficacité est insuffisante à bien des égards, ce qu’il convient d’analyser pour y remédier. ■ Rendre dissuasives les sanctions en matière de contrefaçon Près de 2 millions de dirhams pour Soleil Oblique II de Melehi...
Edition N° 6891 | Le 21/11/2024
Le marché de l’art marocain connaît une croissance exponentielle depuis la fin du XXe siècle. Cependant, ce développement s’accompagne d’une augmentation d’œuvres viciées, dont la présence sur le marché dessert les intérêts de nombre d’acteurs de bonne foi: les artistes et leurs ayants droit, les vendeurs et acheteurs, les professionnels et les institutions publiques, voire l’Etat lui-même. C’est...
Edition N° 6718 | Le 06/03/2024
Dans la première partie, Cyrielle Gauvin pose la problématique d’un marché de l’art au Maroc en expansion, mais en manque d’encadrement. Le pays a d’ailleurs récemment lancé des réflexions visant à renforcer l’arsenal juridique en matière de lutte contre les contrefaçons d’œuvres d’art. L’auteur explique les enjeux, dans un tel contexte, pour tout intéressé, de préparer minutieusement l’...
Edition N° 6717 | Le 05/03/2024
Le Maroc a initié, en février, des réflexions visant à renforcer l’arsenal juridique en matière de lutte contre les contrefaçons d’œuvres d’art(1). Cette nouvelle est bienvenue, car si le marché de l’art s’y est amplifié ces dernières années, il manque néanmoins d’encadrement. Plus d’un quart du chiffre d’affaires de la vente d’œuvres, estimé à 800 millions de dirhams, proviendrait du marché...