Edition N° 6611 | Le 04/10/2023
C’est le projet porté par la Fondation MAScIR, relevant de l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P), et l’entreprise pharmaceutique Laprophan. Les deux partenaires ont signé une joint-venture dans ce sens lundi dernier, au siège de l’UM6P à Laâyoune (Foum El Oued). Un véhicule commun est né de cet accord, baptisé Ibyltech. Ibyl pour chameau, et tech pour technologie biomédicale. Les nano-...
Edition N° 6611 | Le 04/10/2023
Le ministre de l’Enseignement supérieur, Abdellatif Miraoui, donne le coup d’envoi officiel, ce jeudi à Casablanca, à trois Centres d’employabilité francophones (CEF), qui démarrent dans trois universités publiques. Il s’agit de celles de Casablanca, d’El Jadida et de Meknès. Ce projet, mené en collaboration avec l’Agence universitaire de la francophonie, prévoit deux autres centres, dans les...
Edition N° 6611 | Le 04/10/2023
C’est le projet porté par la Fondation MAScIR, relevant de l’Université Mohammed VI Polytechnique (UM6P), et l’entreprise pharmaceutique Laprophan. Les deux partenaires ont signé une joint-venture dans ce sens lundi dernier, au siège de l’UM6P à Laâyoune (Foum El Oued). Un véhicule commun est né de cet accord, baptisé Ibyltech. Ibyl pour chameau, et tech pour technologie biomédicale. Les nano-...
Edition N° 6611 | Le 04/10/2023
Pour recruter leurs cadres, les entreprises ne se bousculent pas aux portes des cabinets spécialisés. Selon l’Association marocaine du conseil en recrutement (AMCR), seule une centaine de sociétés recourent à leurs services. Le nombre de cabinets opérant dans le secteur est, pour sa part, surprenant.
Le marché du conseil en recrutement de cadres est très réduit. Seule une centaine d’...
Edition N° 6611 | Le 04/10/2023
Abdelaziz Bennis, président de l’Association marocaine du conseil en recrutement: «L’AMCR se veut une garantie pour les entreprises et les candidats du respect des principes fondamentaux requis pour l’exercice du métier» (Ph. DR)
- L’Economiste: Comment a évolué le secteur du conseil en recrutement de cadres ces dernières années, et notamment depuis Covid?
- Abdelaziz Bennis: Le secteur a...
Edition N° 6609 | Le 02/10/2023
C’est désormais la tendance dans les universités, le nombre d’étudiants en sciences «dures» se réduit d’année en année. En 2022, à peine 14% des nouveaux étudiants universitaires se sont orientés vers des parcours scientifiques. «Dans la géologie, c’est encore pire!» s’écrie Taoufik Mourabit, chercheur dans le domaine de la sismologie et du risque sismique à l’université Abdelmalek Essaâdi de...
Edition N° 6609 | Le 02/10/2023
Les étudiants qui choisissent la géologie à la fac ne sont pas nombreux (voir article précédent). Et ceux qui s’y dirigent suivent davantage de formations éloignées du terrain. «Nous nous orientons également vers de pseudo-spécialités géologiques modernes: géoparcs, géotourisme… Cependant, ce n’est pas la géologie dont nous avons besoin. Je pense aussi aux nouvelles filières faisant appel à l’...
Edition N° 6609 | Le 02/10/2023
Le sol marocain n’a pas encore livré tous ses secrets, et les géologues ont encore d’énormes efforts à fournir. Le taux de couverture du pays en cartes géologiques est à près de 46,41%, selon les données du ministère de la Transition énergétique de 2022.
Il reste ainsi plus de la moitié du territoire à explorer. «La carte géologique est le support incontournable pour démarrer toute étude. Sans...
Edition N° 6609 | Le 02/10/2023
Mimoun Harnafi, géophysicien, sismologue, ancien chercheur à l’Institut scientifique de Rabat, a contribué à plusieurs projets d’envergure au Maroc, dans le cadre de la coopération internationale. Des projets qui ont permis de constituer une impressionnante base de données sismiques (Ph. DR)
Les fondateurs de la géologie au Maroc sont déjà à la retraite ou sont en train de partir. Des...
Edition N° 6609 | Le 02/10/2023
Toute une génération de géologues, sismologues, géophysiciens… est en train de partir à la retraite le cœur lourd, car après elle, il n’y a pas vraiment de relève. Ceux qui ont jeté les bases des géosciences au Maroc quittent l’université publique en abandonnant les sciences de la Terre à leur triste sort. Parmi les étudiants, la discipline n’intéresse pas grand monde. A vrai dire, dès le...
