Largement réélu le 8 avril huitième président de la République depuis l’indépendance de l’Algérie en 1962, Bouteflika a prêté serment pour un second mandat de cinq ans. Deux des cinq autres candidats à l’élection présidentielle conviés à la cérémonie, Ali Benflis et Saïd Sadi, étaient absents de la cérémonie. Ils avaient parlé de «fraude massive et générale» en faveur de Bouteflika, réélu dès le premier tour du scrutin, avec 84,99% des suffrages. Dans son discours d’investiture, il s’est dit favorable au désengagement progressif «de la dépendance par rapport aux hydrocarbures», et à des «solutions de partenariat et de privatisation» pour les entreprises publiques dans le cadre de cet objectif. «Mais en aucun cas, il ne saurait s’agir de brader le patrimoine national ni de dessaisir de quelque manière que ce soit, la puissance publique des intérêts stratégiques de la nation», a-t-il ajouté.(AFP)
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