Hydrocarbures: Pourquoi l'option Samir est hors de question
Mustapha Baïtas, en sa qualité de membre du bureau politique du RNI et porte-parole du gouvernement, vient de battre en brèche l’argumentaire de tous ceux qui nourrissent l’espoir de la réactivation de la raffinerie Samir. Selon lui, un tel scénario implique de renoncer à une dette de 40 milliards de DH! «Je vous en conjure, qui peut se prévaloir aujourd’hui de prendre la décision d’effacer une dette aussi conséquente», s’interroge Baïtas. Sans oublier que la mise à niveau de l’outil de production, du site de Mohammedia, nécessite pas moins de 12 milliards de DH.