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Talents ratés
Talents ratés Par Ahlam NAZIH
Le 11/03/2025

Elles arrivent en force dans la recherche universitaire. De jeunes trentenaires, brillantes et ambitieuses, sont en train de se faire une place parmi les... + Lire la suite...

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Directrice des rédactions – Groupe Eco-Médias

Edition N° 4928 | Le 30/12/2016
Faut-il attribuer aux hommes ou aux structures partisanes (Istiqlal et PJD) le double désastre de politique internationale et de politique intérieure qui frappe cette fin d’année 2016? Le plus cruel, pour le Maroc, n’est pas là. Des gens ne comprenant pas que la fonction qui leur est confiée est plus grande qu’eux, et qui veulent l’asservir à leur petitesse, il y en a toujours eu. Il y en...
Edition N° 4926 | Le 28/12/2016
Dans les années 1980, il y avait le programme d’ajustement structurel, tout le monde le sait. Il y avait aussi trois opérations qualitatives. Elles contenaient des idées à reprendre aujourd’hui. Ces trois stratégies (le mot n’est pas trop fort) portaient sur la maintenance, la qualité et la protection des consommateurs. Soyons honnête, le dernier point n’a pas fonctionné. Il a donné une...
Edition N° 4925 | Le 27/12/2016
Le monde des affaires ne s’étonne plus guère de l’impuissance de Benkirane à former son gouvernement. L’état économique du Maroc ne prête pas à l’optimisme qui devrait naturellement être celui d’une Nation remplie de jeunes. Au contraire, les indicateurs de fond, ceux qui dessinent le Maroc des dix prochaines années,  se sont terriblement dégradés: croissance du chômage des jeunes adultes...
Edition N° 4922 | Le 22/12/2016
On la redoutait. On l’a. La croissance de 2016 est en réalité une décroissance puisqu’elle est en dessous de l’évolution démographique. Même en s’y attelant  tout de suite (ce qui n’est malheureusement pas le cas), il faudra du temps pour remettre le Maroc sur les rails du progrès qui était le sien, il y a 7-8 ans. Quel que soit l’angle  économique que l’on adopte, la conduite des finances...
Edition N° 4911 | Le 05/12/2016
Une forte critique se développe contre les parlementaires, si on en croit ce qui s’écrit sur les réseaux sociaux. On objectera que quelques centaines, voire quelques milliers de personnes ne sont pas l’opinion publique. On aurait parfaitement raison. Il n’empêche que l’observation compte dans la mesure où il n’y a pas grand monde pour prendre le contrepied des violences verbales à l’...
Edition N° 4910 | Le 02/12/2016
Au moment de l’Indépendance, moins de 10% des enfants qui auraient dû aller à l’école, y allaient effectivement.  On n’y pouvait pas grand-chose. Quoique…Mais quinze ans plus tard, la responsabilité est totale. Dans les années 1970, nul ne s’inquiéta quand trois écoliers sur quatre ne finissaient pas le primaire et ce alors qu’à peine 50% des enfants y étaient inscrits! Dit autrement,...
Edition N° 4908 | Le 30/11/2016
Le gouvernement Benkirane, avec son ministre des Finances Boussaïd, a certes redressé deux des grands dossiers dont il a eu la charge: la retraite des fonctionnaires et les milliards jetés par-dessus les frontières, pour subventionner les hydrocarbures. Le redressement n’est fait qu’à moitié seulement, il faudra s’y remettre rapidement. En attendant, on a toujours un Etat assoiffé. Au...
Edition N° 4902 | Le 22/11/2016
Toujours la même histoire: quand le travail n’est pas fait à temps, bien mené et en transparence, cela devient un pataquès politicien, où on peut raconter n’importe quoi sur n’importe qui. On sourirait si le Maroc et les Marocains n’en étaient pas les victimes directes. C’est le cas de la libéralisation de l’essence. Autrefois,  une libéralisation  de produits aussi anodins que les pâtes...
Edition N° 4900 | Le 17/11/2016
Comment trouver le juste ton? Au Maroc, on a une excellente expertise de l’auto-flagellation. En revanche, quand il s’agit de reconnaître ce qui est bien fait, ou on passe son chemin en faisant mine de n’avoir rien vu ou bien on en fait trop et encore trop, au point que la crédibilité se perd. Honnêtement, on ne peut pas ignorer le travail de la COP22. On est tous très fiers. Les couacs,...
Edition N° 4900 | Le 17/11/2016
Les Marocains ne font rien comme tout le monde. Contrairement aux indépendances asiatiques et chez le voisin algérien, peu ou pas de guerre et pas d’affrontements civils. Et pas non plus de réécriture de l’histoire, ou pas grand-chose. Parfois, des transitions longues sont aménagées entre Rabat et Madrid ou Paris pour gérer l’indépendance. On trouve ces longues périodes chez les banques, dans la...