Edition N° 4876 | Le 14/10/2016
Le départ de Mezouar coïncide avec l'un des plus mauvais scores électoraux du parti (Ph. Bziouat)
Après le mauvais score réalisé par le parti et l’annonce de la démission surprise de son président, le RNI est encore une fois au cœur des discussions. Le bureau politique, réuni mercredi en fin de journée, a pris des résolutions officielles sur un sujet qui faisait l’objet de rumeurs publiques...
Edition N° 4874 | Le 12/10/2016
Pour Rupert Joy, ambassadeur de l’UE, «le développement durable est une priorité pour le Maroc et l’UE. Depuis de nombreuses années, nous collaborons étroitement à travers une vaste gamme de programmes dans les secteurs de l’énergie, l’eau,…» (Ph. Bziouat)
Les fonds continuent d’affluer dans les caisses de la COP22. L’Union européenne vient d’accorder une nouvelle subvention de 21,5...
Edition N° 4873 | Le 11/10/2016
Un chef de parti qui jette l’éponge au lendemain de la proclamation des résultats des élections. La séquence est courante dans les pays où la tradition démocratique est ancrée. Au Maroc, l’annonce de la démission de Salaheddine Mezouar de la présidence du RNI dimanche soir à l’occasion de la tenue du bureau politique est une première. D’ailleurs, les membres de cette instance, pris de court par...
Edition N° 4872 | Le 10/10/2016
Au siège du PJD, arrivé en tête des élections, la fièvre est retombée. On attend un signal du cabinet royal pour la nomination du prochain chef du gouvernement, conformément à la Constitution. Les élections se sont déroulées sans incident notoire, ce qui marque de manière nette une avancée dans le processus de consolidation de la démocratie. Un acquis notable pour le Maroc, scruté de...
Edition N° 4869 | Le 05/10/2016
Salaheddine Mezouar: «Deux années de gestion catastrophique ont pu être relativement rattrapées avec l’entrée du RNI au sein du gouvernement» (Ph. Bziouat)
- L’Economiste: Deux caïds, chefs d’arrondissement, ont été agressés lundi par des militants du PJD. Quel commentaire cela vous inspire?
- Salaheddine Mezouar: Cela montre l’état de nervosité et de provocation. Mon sentiment est qu’on...
Edition N° 4869 | Le 05/10/2016
Le taux de participation reste la grande inconnue du scrutin du 7 octobre. L’idéal est qu’il dépasse la barre de 50% contre 45% en novembre 2011. Une donne importante si on veut donner de la légitimité aux institutions qui ont beaucoup plus de compétences que par le passé (Ph. Bziouat)
Le basculement vers le scrutin de liste à la proportionnelle en 2002, avec le plus fort reste, a sans doute...
Edition N° 4869 | Le 05/10/2016
Sans le crier sur tous les toits et en marge de la COP22, des banques marocaines s’apprêtent à mettre sur la table des produits de financement de climat. En effet, la Société financière internationale (SFI), filiale du groupe Banque mondiale, travaille sur ce dossier avec certaines institutions financières. L’objectif est de développer et de proposer des lignes de crédit vertes et des émissions d...
Edition N° 4869 | Le 05/10/2016
«Les changements climatiques vont avoir des effets dramatiques sur les pauvres et risquent de mettre en péril tout ce que nous avons réalisé au cours des 20 dernières années», souligne Christian Grossmann, directeur du département changements climatiques à la Banque mondiale (Ph. Bziouat)
- L’Economiste: A la veille de la COP22, que compte proposer la Banque mondiale?
- Christian Grossmann...
Edition N° 4867 | Le 30/09/2016
Contrairement à Abdelilah Benkirane, le patron du PAM affronte le prochain scrutin, avec un regain de confiance et affiche clairement son ambition d’arriver en tête le 7 octobre (Ph. Bziouat)
Même si la campagne électorale n’a pas encore atteint sa vitesse de croisière, l’attention est focalisée sur deux formations qui dominent la scène politique. Il s’agit du PAM et du PJD. Le premier part...
Edition N° 4865 | Le 28/09/2016
En présentant le projet de budget pour 2017 devant le Conseil des ministres tenu lundi à Tanger, Mohamed Boussaid s’est voulu volontariste, en dépit du calendrier électoral et le changement de gouvernement qui en découle. Première bonne nouvelle, une enveloppe de 190 milliards de DH (contre 189 milliards de DH en 2016) est annoncée pour l’investissement public. Une bouffée d’oxygène très...