
La souveraineté alimentaire en céréales est-elle possible?
Les aléas climatiques que connaît le Maroc ont induit un courant de pensée, quasi-unique, opposant les cultures d’exportation aux cultures vivrières en ce sens que les premières, grosses consommatrices d’eau, en privent les secondes en quantité suffisante pour assurer des récoltes répondant aux besoins de la population.