Les zinzins marocains se détournent du private equity
Le visage des investisseurs dans le private equity a profondément changé entre les 2e et 3e générations de fonds. Les capitaux sont désormais principalement apportés par les organismes de développement internationaux. Les levées auprès des banques et des compagnies d’assurances sont sur une trajectoire descendante. L’échec des investissements dans les fonds immobiliers et touristiques par le passé a refroidi beaucoup d’institutionnels locaux. De plus, la prédominance des fonds transrégionaux, aujourd’hui, explique en partie la baisse des allocations notamment des assureurs pour le private equity.