Le dynamisme des placements des excédents du Trésor ont maintenu le marché monétaire en équilibre durant la semaine dernière. Cet équilibre a été aussi permis grâce à l’intervention de la banque centrale, précise Attijari Global Research dans son dernier Hebdo Taux. Lire la suite

Début 2029, une date à retenir. Elle marque la nouvelle phase de mutation de Dakhla en un véritable hub économique. La ville connaîtra ainsi un nouveau départ puisque les travaux de construction de la partie infrastructure du port Dakhla Atlantique s’achèveront fin 2028. L’annonce a été faite par Nisrine Iouzzi, chef de division stratégie, planification et financement, de la Direction des ports et du domaine public maritime, dans une déclaration à L’Economiste, lors du forum d’Africa Business Days, tenu le 13 février. Lire la suite

Les derniers chiffres du HCP ont remis au devant de la scène l’importance du poids de l’informel. Ce secteur est pris en compte pour le calcul du taux de chômage. Normal, il emploie une part significative de la population active et joue un rôle important dans l'économie nationale. Lire la suite

Ni le contrôle fiscal, ni les opérations coup de poing et encore moins les baisses d’impôts n’arriveront à combattre l’informel et donc à élargir l’assiette fiscale. Pour Younes Idrissi Kaitouni, directeur général des impôts, invité de la CGEM, la solution réside dans la modernisation de l’économie et une croissance structurée. «Elle doit être le leitmotiv pour mobiliser les ressources et améliorer le climat de confiance dans une relation où la sécurité doit primer». Lire la suite

En 2022, plusieurs facteurs se sont conjugués pour assener un coup brutal à l’économie marocaine. Le pays a subi à la fois des chocs externes et domestiques: une flambée des prix des matières premières ayant engendré une inflation jamais atteinte en trois décennies (8,3% en décembre 2022), le ralentissement économique en Europe, la sécheresse (qui explique 48% de la décélération économique)… Cette situation s’est traduite par l’effondrement de la croissance réelle du PIB, passée de 7,9% en 2021 à 1,2% en 2022, et une aggravation du déficit du compte courant, monté de 2,3% à 4,1% du PIB, selon les estimations de la Banque mondiale. Lire la suite