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Echec
Echec Par Ahlam NAZIH
Le 19/04/2024

Devenir médecin, c’est d’abord se vouer à l’humain, se dédier à une cause noble. Devenir médecin, c’est avant tout un don de soi, et c’est aussi rendre service à son pays.

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Edition N° 4734 | Le 22/03/2016
Accroître le marché domestique, continuer à investir dans l’énergie et les infrastructures (port, chemins de fer et autoroutes)… Ce sont les impératifs que le continent compte relever dans les meilleurs délais (Ph. Africa CEO forum 2016) NAREVA est dans le sillage de la holding-mère. La filiale SNI confirme ses visées sur le marché subsaharien des énergies vertes. La société est d’ailleurs...
Edition N° 4734 | Le 22/03/2016
Pour Jerrold L. Mallory, conseiller économique de l’Ambassade des Etats-Unis à Rabat, le fait que le Maroc ne soit pas un pays industriel contribue aux écarts de performances à l’export dans le cadre de cet accord (Ph. Bziouat) - L’Economiste: Le constat est quasi unanime chez les exportateurs marocains: les barrières non tarifaires biaisent les rapports d’échanges, surtout sur le segment...
Edition N° 4734 | Le 22/03/2016
Le business a cumulé 20 milliards de DH en 2015. Ce qui fait du Maroc le 72e partenaire commercial des Etats-Unis Chacun y va à son rythme! C’est en substance ce qui ressort de cette première décennie d’Accord de libre échange (ALE) entre le Maroc et les Etats-Unis. Le régime, qui devrait libérer le potentiel des échanges commerciaux et les investissements entre les deux parties, en est à sa...
Edition N° 4732 | Le 18/03/2016
A peine lancée, LH Maroc Afrique se positionne en leader sur le marché de l’UEMOA. Elle surfera sur les synergies avec LafargeHolcim Maroc Le géant LafargeHolcim Maroc est né! C’est certainement «la fusion» de la décennie, après celle des groupes ONA-SNI. Quasiment actée, l’opération attend la «bénédiction» de l’Autorité marocaine du marché des capitaux. Plus de huit milliards de DH de...
Edition N° 4731 | Le 17/03/2016
Parmi ses particularités opérationnelles de financement, la banque brandit sa capacité à combler les «écarts de marché» en prenant des risques plus élevés que les banques commerciales ou les investisseurs privés La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) veut doper ses interventions en direct auprès du secteur privé marocain. Elle est en train de négocier auprès...
Edition N° 4730 | Le 16/03/2016
François Bosco,directeur général, groupe des Brasseries du Maroc - L’Economiste: La TIC a été légèrement revue à la baisse depuis une année déjà. Quels effets cela a eu sur l’activité eau? - François Bosco: L’impact fiscal, en général, n’est pas encore suffisamment neutre sur le prix de revient dégagé de cette activité. Nous versons quelque 30 millions de DH pour diverses impositions, dont...
Edition N° 4730 | Le 16/03/2016
Avec le concept de tourisme industriel, l’Euro-Africaine des Eaux (EAE) marque son positionnement marketing de son produit phare, Ain Ifrane. L’objectif est aussi de booster la visibilité de la marque sur un marché fortement concurrentiel Petit poucet du secteur de l’eau minérale, Aïn Ifrane se sent bien à l’étroit dans sa bouteille. Avec 10% de part de marché et une 5e position en termes...
Edition N° 4728 | Le 14/03/2016
Sur une même longueur d’onde, le co-investissement est davantage envisageable, que ce soit sur le marché local ou subsaharien. La CGEM et le Medef ne veulent surtout pas se marcher sur les pieds (Ph. Khalifa) Bousculé sur ses principales zones de confort - à la fois par la conjoncture et par les offensives des économies émergentes - le secteur privé français se repositionne. Au Maroc, cela...
Edition N° 4727 | Le 11/03/2016
Bien qu’encore relativement récente sur le segment des EnR, l’offre industrielle locale se situe essentiellement sur des ouvrages à faible valeur technologique, comme la fabrication des composantes métalliques. En 2008 déjà, DLM livrait des mâts de 65 mètres de hauteur et 55 tonnes destinés à un parc éolien de l’ONEE à Tanger (Ph. DLM) C’est la première fois que l’approche industrielle...
Edition N° 4591 | Le 19/08/2015
Les temps sont durs pour les sidérurgistes. Le numéro 1 marocain s’attend «Nous avons superformé le marché en dégageant une marge brute de 11% en 2014. Elle ne sera pas du même acabit cette année. Mais pour aller dégager des marges qui sont supérieures à ce que font les majors internationales, qui interviennent de surcroît sur des marchés protégés, c’est une bonne performance», juge Ayoub...