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Sans concession
Sans concession Par Meriem OUDGHIRI
Le 28/03/2024

L’étiquette continue de coller au Maroc, et même au-delà des frontières. La contrefaçon, ce vol de l’intelligence économique, atteint encore des... + Lire la suite...

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Edition N° 5285 | Le 01/06/2018
Al Hoceima est l’une des plus belles villes du nord du Maroc. Elle est plus connue sous le surnom de «la perle de la Méditerranée». Derrière cette image de carte postale, l’ébullition des manifestations, les arrestations... (Ph. J.M.) La ville est calme, une année après les arrestations des activistes du Hirak, mais la tension est palpable et l’amertume se lit encore sur les visages....
Edition N° 5275 | Le 18/05/2018
Si le tapis de la région de Taznakht fait sa réputation, c’est grâce à sa laine, ses couleurs, mais aussi au nombre de nœuds dont il est travaillé. Il compte, selon les connaisseurs, jusqu’à 480.000 nœuds au m², et peut demander jusqu’à neuf mois de travail (Ph. JM ) Réputé par sa qualité, grâce à ses couleurs et le nombre de ses nœuds, la marque de fabrique de Taznakht, le tapis, demeure...
Edition N° 5266 | Le 07/05/2018
La tombe de Rabbi Haïm Ben Diouane (Ph. JM) Dans le douar d’Anraz, région du Haouz, est enterré le saint juif Rabbi Haïm Ben Diouane. Restauré en  2015, le sanctuaire accueille, chaque année, une foule de pèlerins. Autour de ce lieu, toute une légende s’est forgée, colportée jusqu’à nos jours par les habitants du village, dont il est difficile de trier la part du vrai et celle du fantasme....
Edition N° 5256 | Le 20/04/2018
Kenza Fenjerou, à l’entrée de la crèche (Ph. JM) Dans les zones rurales, plaines et montagnes, il n’est pas rare de rencontrer des jeunes filles en tablier d’écolière, le cartable sur le dos, se diriger à pieds vers l’école la plus proche du douar. Certaines parcourent des kilomètres pour atteindre la leur. D’autres ont la chance d’être logées dans des pensionnats pour jeunes filles, que des...
Edition N° 5249 | Le 11/04/2018
Ville réputée par sa vallée-oasis et ses arbres fruitiers, riche par ses casbahs, ses ksours, riche aussi par ses gorges tapies au pied du Haut-Atlas, Tinghir est une étape incontournable pour tout voyageur dans l'Anti-Atlas (Ph. J.M.) Ville de la région Drâa-Tafilalet réputée par ses milles casbahs, Tinghir abrite le souk hebdomadaire le plus important de toute la province. A 170 km de...
Edition N° 5239 | Le 28/03/2018
Mohamed Boussaid n’a pas mâché ses mots au Mansion House, lors du «UK-Morocco Trade & Investment Forum». Après que des responsables britanniques aient mis l’accent sur les exemples de coopération fructueuse avec la London Stock Exchange et le flux des touristes britanniques au Maroc, le ministre de l’Economie et des Finances a rappelé à ses interlocuteurs, au cœur de la City, que le niveau...
Edition N° 5236 | Le 23/03/2018
Latif Lahlou: «Contrairement à ce que certains prétendent, le cinéma marocain n’évolue pas, mais il recule. Nous assistons à des films sans charme ni émotion, qui véhiculent des clichés de mauvais goût, qu’on finit par enfermer, après les festivals, dans les placards» (Ph. JM) Du haut de ses 79 ans, Latif Lahlou n’a pas une ride sur le plan cinématographique. Le doyen des cinéastes marocains...
Edition N° 5236 | Le 23/03/2018
  ■ Amal Ayouch, actrice: «Le démarrage réel n’a commencé que durant les années 1970» «Il est prétentieux de parler de 60 ans de cinéma marocain. Cela ne fait que 20 ans que je suis dans le domaine. A mon avis, le démarrage réel n’a commencé qu’au cours des années 1970-80. C’est à partir de cette période que l’on peut parler d’une production annuelle, courts et longs métrages. Les...
Edition N° 5236 | Le 23/03/2018
Triste sort des cinémas mythiques tombés aujourd’hui en ruine. Le nombre de salles s’est réduit comme peau de chagrin, avec pas plus d’une cinquantaine à travers tout le Royaume. Même Tanger qui a abrité le Festival du film ne possède, avec son million d’habitants, que deux salles (Ph. L’Economiste) Un événement de taille a marqué cette année la 19e édition du festival national du film qui a...
Edition N° 5231 | Le 16/03/2018
Vue du Barrage Yacoub El Mansour en ce début mars 2018 De Tahannaout à Tlat N’Yacoub, quelque 65 km, plusieurs communes rurales de la province sont dépourvues de décharges publiques. Les douars disséminés dans les montagnes et les vallées jettent leurs ordures n’importe où, parfois au bord des cours d’eau, menaçant ainsi de pollution le fleuve N’fis. Le barrage Yacoub El Mansour, à Ouirgane...