7e art: «Au Maroc, nous manquons cruellement de producteurs entrepreneurs»
«Je le dis haut et fort, le financement ne sert pas à développer le secteur. Il faut créer des scénarios, coproduire, acheter des droits de films… Au Maroc, nous avons une richesse culturelle immense et personne ne pense à mettre ces trésors en images. Au lieu de ça, nous assistons en permanence à des copies de films américains, à des lamentations, à de la victimisation. Le cinéma n’est pas que larmoyant, il est aussi joyeux», dénonce la professeure à plus de 35 ans d'expérience dans le monde audiovisuel
