L'heure est grave pour l’industrie textile dans le Nord. Sur les 500 entreprises que compte le secteur dans la région, plus de la moitié sont à l’arrêt à cause de la pandémie et de ses conséquences sur les carnets de commandes. Les usines encore en activité, ont, elles, réduit de 50% leur effectif en raison des mesures sanitaires. Transport, logistique, métiers connexes, sont tout autant impactés. L’Amith Nord tire la sonnette d’alarme. Plombé par des charges financières et bancaires trop lourdes, et quasi totalement dépendant de l’Espagne, le secteur risque la banqueroute. Avec 67.000 postes, il est pourtant le plus gros employeur de la région.
Chère lectrice, cher lecteur,
L'article auquel vous tentez d'accéder est réservé à la communauté des grands lecteurs de L'Economiste. Nous vous invitons à vous connecter à l'aide de vos identifiants pour le consulter.
Si vous n'avez pas encore de compte, vous pouvez souscrire à L'Abonnement afin d'accéder à l'intégralité de notre contenu et de profiter de nombreux autres avantages.
Vous êtes déjà abonné à L'Economiste mais vous n'avez pas reçu vos identifiants?
Contactez-nous à l’adresse abonnement@leconomiste.com pour les recevoir en indiquant: nom, prénom, email, entreprise, fonction et numéro de téléphone.