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Injustices
Injustices Par Khalid BELYAZID
Le 02/05/2024

Ne gâchons pas la fête, surtout celle du travail. Ce 1er Mai n’a jamais été aussi sympathique; les leaders syndicaux n’ont pas eu à hurler dans les hauts-parleurs... + Lire la suite...

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Edition N° 6368 | Le 14/10/2022
Le MBA est souvent présenté comme un booster de carrière, un titre à même de garantir un succès professionnel immédiat. Sur les classements internationaux, l’on peut observer l’effet des MBA des plus grandes écoles sur les salaires des lauréats. Les hausses sont parfois vertigineuses (jusqu’à +97% pour les Executive MBA, selon le Financial Times EMBA Ranking 2021). Qu’en est-il au Maroc, avoir un...
Edition N° 6368 | Le 14/10/2022
Ces dernières années, quelques mesures sont venues simplifier la procédure relative à l’équivalence des diplômes obtenus de l’étranger. Toutefois, dans certains cas les délais restent trop longs. Le ministère de l’Enseignement supérieur entend alléger encore plus le processus. Le principal changement concerne l’adoption d’une nouvelle approche, basée sur l’équivalence du diplôme et non du...
Edition N° 6368 | Le 14/10/2022
Il existe quelque trois Executive MBA (EMBA) dispensés au Maroc et figurant dans les plus prestigieux classements à l’international: celui de l’ISCAE qui apparaît pour la deuxième année consécutive dans le QS EMBA rankings 2022, celui de l’Emlyon Casablanca répertorié dans le Financial Times 2021 EMBA ranking, et celui de TBS Casablanca, classé dans les deux. Celui de la business school publique...
Edition N° 6368 | Le 14/10/2022
Au Maroc, le modèle que l’on retrouve le plus souvent est celui de l’Executive MBA (EMBA) réalisé en temps partiel, généralement étalé sur 12 à 18 mois. Les mieux cotés sont généralement ceux réalisés en partenariat avec des écoles et universités à l’international, et donc donnant lieu à des doubles diplômes, ou encore ceux relevant de filiales d’écoles étrangères. Les critères de sélection sont...
Edition N° 6368 | Le 14/10/2022
Forme-t-on en master comme on le faisait il y a une quinzaine d’années? Certainement pas. Les thématiques abordées ont, naturellement, évolué mais pas seulement. La conception des programmes obéit à de nouveaux standards, les contenus et les approches aussi, pour mieux répondre aux exigences du marché. Car  c’est là tout l’enjeu: fournir des profils correspondant aux attentes des employeurs, et...
Edition N° 6368 | Le 14/10/2022
Dans les ENCG, les masters coûtent autour de 50.000 DH pour les 2 ans. Au niveau des facs de droit, le tarif peut aller jusqu’à 35.000 DH par an, contre environ 30.000 DH par an pour les écoles d’ingénieurs Malgré les critiques dont ils font parfois l’objet, les masters payants des universités publiques, destinés aux professionnels, continuent d’attirer. Certains établissements en font...
Edition N° 6368 | Le 14/10/2022
Dans les universités publiques, l’offre de formation en master est la plus diversifiée. Près de la moitié des quelque 2.650 filières accréditées relèvent de ce cycle. Pourtant, c’est celui qui accueille le moins d’étudiants. Le cycle master n’accueille que près de 5% des effectifs universitaires, contre plus de 90% pour la licence. En revanche, en termes de rendement, le cycle enregistre un...
Edition N° 6367 | Le 13/10/2022
Cette année encore, l’essentiel des étudiants universitaires s’est dirigé vers les facultés à accès ouvert, avec 86% des inscrits. La répartition de ces effectifs est pour le moins déséquilibrée, puisque plus de la moitié ont rejoint les facs des sciences juridiques, économiques et sociales, et près du quart s’est orienté vers les lettres et sciences humaines. A peine 11% ont opté pour les...
Edition N° 6367 | Le 13/10/2022
Le ministère de l’Enseignement supérieur s’est fixé un objectif de 200 brevets à déposer par les universités d’ici fin 2023. Cela représentera une hausse de 28% par rapport à 2021. L’on vise également 100 projets à incuber, dans le cadre du programme de promotion de l’innovation, à la même échéance. (+100% comparativement à 2021).   A.Na
Edition N° 6366 | Le 12/10/2022
Le processus de sélection d’un nouveau directeur pour l’Ecole nationale supérieure des mines de Rabat, plus connue sous le nom de l’ENIM, est quasi achevé. Les trois noms favoris de la commission de sélection sont entre les mains de la ministre de la Transition énergétique, Leila Benali.   A.Na