Le multirécidiviste des défis de l’extrême, Nacer Ibn Abdeljalil, a atteint le pôle Nord dimanche 20 avril.  Après avoir gravi le Mont Blanc en Europe, le McKinley en Alaska et l’Everest au Népal, l’ex-financier de Morgan Stanley a parcouru, en compagnie de ses co-équipiers australiens, 220 km en ski en tirant un traîneau de plus de 80 kg dans des conditions climatiques extrêmes (pouvant atteindre les -40°) pour planter les couleurs du Maroc sur le point le plus septentrional de la planète. Il cumule ainsi le titre du premier Marocain ayant atteint le pôle Nord et l’Everest. Le jeune homme de 36 ans admet tout de même qu’il s’agit du défi physique le plus éprouvant de sa carrière.  Cette expédition a permis à Nacer Ibn Abdeljalil de rassembler des fonds au profit de l’association Amani qui lutte contre la déscolarisation des enfants au Maroc. Retour sur cette expédition parrainée par L’Economiste en image

• La moitié veut un emploi dans le public!

• Ils sont équipés en TIC et ont déjà une idée sur leur futur métier

• Le tiers souhaite poursuivre ses études en anglais et en français (Page II)

  •Une Ecole Belge à Rabat   à l’étude (Page III)

• Recrutement 2.0: Les conseils de Twitter  (Page VII)

• L’Agence universitaire de la francophonie coache les doctorants (Page VI)    

La labellisation des produits agricoles est régie par la loi n°25-06, promulguée par le dahir n°1-08-56 du 23 mai 2008. C’est le cadre juridique qui permet la reconnaissance de la protection des produits du terroir aussi bien sur le marché local qu’à l’international. Depuis son entrée en vigueur, 29 produits ont été labellisés et 9 autres devraient l’être cette année

■ De nouveaux métiers émergent, reste à faire un bon ciblage

■ La pression ne faiblit pas sur les filières universitaires

■ Les écoles de management refondent leurs programmes

Des milliers de jeunes bacheliers qui vont entamer les études supérieures à la rentrée de septembre prochain auront à faire un choix décisif pour leur avenir. Comme tous les ans, la majorité sera tentée par les établissements dits à accès ouvert. Pour faire simple, il s’agit de facs de droit et des sciences économiques, de facultés des lettres ainsi que de facultés des sciences. Ces filières concentrent en effet le plus gros des effectifs à l’université et concentrent, à elles seules, toutes les difficultés de l’enseignement, voire l’incapacité du système à bouger.