De grands lecteurs témoignent

A l'occasion du 6.000e numéro de L'Economiste, de grands lecteurs ayant accompagné  l'évolution du journal, livrent leurs témoignages sur la contribution du quotidien économique au paysage médiatique.

Abdellatif Jouahri, wali de Bank Al Maghrib

Je félicite le management et les équipes du journal L’Economiste qui fête aujourd’hui son 6000e numéro. Etant un fidèle lecteur depuis des années, j’ai pu constater son développement et le voir s’ériger rapidement en tant que référence incontournable en matière d’information économique, mais également d’évaluation des politiques publiques et privées.  Au-delà de la qualité de ses équipes, je pense que le succès et l’expansion qu’a connu L’Economiste tiennent au modèle d’organisation qu’il a choisi. En tant qu’entreprise privée gérée selon les pratiques modernes de gouvernance, il a contribué dans une large mesure à la professionnalisation du journalisme marocain. Il s’est ouvert sur son écosystème avec la création d’une école de journalisme et la mise en place de ses prix pour la recherche économique. Il est aujourd’hui un modèle qui s’exporte et sa présence en Afrique subsaharienne en est la preuve concrète. En tant que citoyen marocain et responsable, je ne peux que me réjouir que dans notre pays nous ayons des supports médiatiques de qualité comme L’Economiste.

Mohamed Benchaâboun, ministre de l'Economie et des Finances

A l’occasion de la publication du 6000e numéro du journal L’Economiste, je voudrais féliciter les fondateurs, le management et toute l’équipe de ce journal qui accompagne la réflexion économique marocaine depuis plusieurs décennies. En 30 ans, L’Economiste a pu s’affirmer comme support indépendant et crédible permettant d’apporter pour chaque sujet économique, à fort impact sur la vie des Marocains, une lecture de qualité et des analyses pertinentes. Je voudrais également saluer la contribution de L’Economiste, en tant que premier quotidien économique, à l’amélioration du champ journalistique marocain et africain à travers l’impartialité et le courage de la plume d’équipes de haut niveau. Je souhaite davantage de succès au journal, à toutes ses équipes en attendant plusieurs autres milliers de numéros.

Chakib Alj, président de la CGEM

Mes félicitations à la famille du Groupe Eco-Médias à l’occasion de la parution du numéro 6.000 du journal L’Economiste.
En tant que lecteur assidu, j’ai assisté au développement de ce quotidien, qui a su, au fil du temps, se positionner comme une référence nationale en termes d'information et d’analyse économique. Ouvert sur son environnement, L’Economiste a et continue à jouer un rôle important dans la sensibilisation et la formation de citoyens responsables, avertis et capables de comprendre les enjeux économiques, politiques et sociaux de leur pays. Il est aussi considéré par les chefs d’entreprise comme un accompagnateur fiable en matière de prise de décision.
Je souhaite saisir cette occasion pour saluer la vision de la gouvernance d’Eco-Médias, ainsi que le travail de qualité mené par les  journalistes du Groupe avec qui j’ai échangé, il y a quelques mois, dans le cadre du Club de L'Economiste.
En tant que citoyen, je suis fier que notre pays dispose de médias de cette qualité. Longue vie à L’Economiste!

Driss Benhima, ancien ministre

La commémoration du six millième numéro de L’Economiste est une opportunité pour nous pencher sur l’apport de ce quotidien à la communauté de ses lecteurs, au-delà même de la sphère de l’économie.
Il a installé une dialectique permanente où le journal est à la fois le reflet des opinions de cette communauté mais aussi un vecteur d’influence, par la qualité de ses informations et l’indépendance de ses journalistes.  De là, une proximité réelle entre le journal et les lecteurs ainsi qu'un positionnement du titre comme référence crédible. Le lecteur se retrouve dans les articles, complète et renforce sa compréhension de la marche marocaine des choses sur le court et long terme.
Je me rappelle du passage de l’hebdomadaire au quotidien et des risques pris par les fondateurs à cette occasion. Aujourd’hui, personne n’imaginerait plus le titre autrement que comme notre rendez-vous quotidien avec la réalité marocaine décrite par quelqu’un qui nous ressemble.

Moulay Hafid Elalamy, ministre de l'Industrie et du Commerce

Je fais partie des témoins qui ont pu assister à la démonstration faite par L’Economiste du fameux dicton: «On ne change pas une équipe qui gagne". Tout au long de son parcours, L'Economiste s’est démarqué par sa pertinence, sa crédibilité et son originalité.
Premier quotidien marocain à se spécialiser dans le traitement de l’information économique et financière, L’Economiste a contribué à vulgariser un contenu scientifique et technique en le rendant accessible au grand public. Grâce à ses analyses, ses enquêtes et ses dossiers spéciaux, il s’est imposé en relais d'information crédible au service de l’économie marocaine.
Fort de son expérience, L’Economiste est incontestablement l’un des fleurons de la presse nationale. C’est aussi une école de référence pour les générations de journalistes qui suivent des formations de qualité à l'Ecole supérieure de Journalisme et de Communication de Casablanca.
Aujourd’hui, L’Economiste fête la publication de son 6.000e numéro. A cette occasion, je tiens à féliciter les managers, l’équipe des journalistes et des techniciens qui ont tous contribué à construire ce beau projet.
Un grand bravo aussi à tous les actionnaires qui ont fait confiance aux porteurs de cette réussite.

Abdellatif Zaghnoun, directeur général de la CDG

Si le journal L’Economiste s’est rapidement positionné, dès sa création en 1991, comme l’un des supports de presse marocains de référence, c’est indéniablement grâce au professionnalisme reconnu de ses équipes, à leur rigueur d’analyse et à leur objectivité qui ne s’est jamais démentie.
En près de 30 ans d’existence, L’Economiste a su s’ériger en véritable témoin de son temps, avec un accompagnement journalistique essentiel des grandes évolutions du pays, qu’elles soient économiques, politiques, sociales ou culturelles.
L’engagement sans faille du journal et sa précieuse valeur ajoutée se reflètent également à travers les nombreuses initiatives lancées par le journal, que ce soit le prix de la recherche en économie et gestion, le Round casablancais du Forum de Paris, la contribution au développement du secteur de la presse avec notamment l’Ecole Supérieure de Journalisme et de Communication ou encore la dimension africaine du support à travers L’Economiste du Faso créé en 2013.
En tant que fidèle lecteur des premières heures, c’est avec une émotion particulière que je salue ce 6.000e numéro de L’Economiste et que je félicite toutes les équipes du journal et celles du Groupe Eco-Médias dans son ensemble. Le meilleur reste assurément à venir!

Hamid Bouchikhi, doyen de SolBridge International School of Business (Corée du Sud)

Partout dans le monde, le champ médiatique est constitué de beaucoup de journaux et de très peu d'institutions. L’Economiste en est une. Je ne suis pas sûr de savoir, tout à fait, comment une entreprise devient une institution. En revanche, je peux affirmer que cette transfiguration n’est jamais le fruit du hasard. Les journaux devenus des institutions sont lancés et animés par des professionnels de l’information visionnaires. Ils acquièrent une identité distinctive dans leur catégorie grâce, notamment, à une ligne éditoriale claire et cohérente dans le temps. Et ils investissent dans la constitution de rédactions capables de produire une information de qualité. Ayant grandi avec le journal en tant que lecteur et contributeur, j’ai pu voir comment L’Economiste a acquis les caractéristiques précitées et comment il est devenu une institution centrale dans le paysage médiatique marocain. Ce statut spécial crée pour le journal, et ses acteurs, des obligations qui vont au-delà de la mission première informationnelle. L’Economiste doit aussi contribuer à l’approfondissement de la démocratie dans notre pays et encourager le débat public. Auteur de plusieurs tribunes dans le journal, je témoigne que mes textes n’ont jamais subi de censure ou de réécriture, comme cela peut se produire ailleurs. Je remercie et félicite les responsables d’ouvrir les colonnes de L’Economiste à des voix très diverses et souhaite longue vie à cette belle institution qui fait entièrement partie du capital immatériel national.