«Jamais dans l’histoire du TAS il n’y a eu une finale de la Ligue des Champions qui s’est décidée une année plus tard devant les tribunaux et non pas dans le stade. Je suis convaincue que cela donne un sentiment amer non seulement aux supporters du WAC, mais surtout aux supporters de l’autre équipe», estime Me Despina Mavromati qui a plaidé le dossier du WAC devant le tribunal arbitral du sport...
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