«Aberrant»! «Rentrer dans un restaurant pour interpeller des clients attablés et les faire sortir pour les verbaliser, ceci est insensé. Pourtant, c’est ce qui s’est passé dans des restaurants de la côte casablancaise, comme Tahiti, ou encore, le Cabestan», fustige Khalid Abbadi, président de la Fédération nationale des restaurateurs, représentant notamment les établissements classés...
Chère lectrice, cher lecteur,
L'article auquel vous tentez d'accéder est réservé à la communauté des grands lecteurs de L'Economiste. Nous vous invitons à vous connecter à l'aide de vos identifiants pour le consulter.
Si vous n'avez pas encore de compte, vous pouvez souscrire à L'Abonnement afin d'accéder à l'intégralité de notre contenu et de profiter de nombreux autres avantages.
Vous êtes déjà abonné à L'Economiste mais vous n'avez pas reçu vos identifiants?
Contactez-nous à l’adresse abonnement@leconomiste.com pour les recevoir en indiquant: nom, prénom, email, entreprise, fonction et numéro de téléphone.