Seules banques à avoir déjà publié leurs résultats semestriels, BCP a vu son coût de risque doubler à 3 milliards de DH et Crédit du Maroc, le sien tripler à 438 millions de DH, en raison d'importantes provisions pour mauvaises créances. La détérioration de l'environnement économique provoquée par le Covid-19 va laisser des traces importantes dans les bilans des banques. Surtout que la crise frappe de plein fouet des secteurs dans lesquels le taux de sinistralité était déjà bien supérieur à la moyenne notamment dans l'hôtellerie et la restauration (25,3%) et le commerce (12,5%)
Chère lectrice, cher lecteur,
L'article auquel vous tentez d'accéder est réservé à la communauté des grands lecteurs de L'Economiste. Nous vous invitons à vous connecter à l'aide de vos identifiants pour le consulter.
Si vous n'avez pas encore de compte, vous pouvez souscrire à L'Abonnement afin d'accéder à l'intégralité de notre contenu et de profiter de nombreux autres avantages.
Vous êtes déjà abonné à L'Economiste mais vous n'avez pas reçu vos identifiants?
Contactez-nous à l’adresse abonnement@leconomiste.com pour les recevoir en indiquant: nom, prénom, email, entreprise, fonction et numéro de téléphone.