Dans le Haut Atlas, des douars à la merci des caprices de la nature
Chaque année, plusieurs douars du Haut Atlas se retrouvent coupés du monde. Nichées dans un dédale de montagnes enneigées, ces populations, pauvres et vulnérables, restent à la merci de la nature et des conditions climatiques. L’Economiste s’est déplacé dans ces localités, partant d’Anfgou, tristement célèbre pour ses enfants morts de froid en 2007, jusqu’à Aït Abdi Oulghazi, en passant par Imilchil...