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Sans concession
Sans concession Par Meriem OUDGHIRI
Le 28/03/2024

L’étiquette continue de coller au Maroc, et même au-delà des frontières. La contrefaçon, ce vol de l’intelligence économique, atteint encore des... + Lire la suite...

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Edition N° 5418 | Le 24/12/2018
A Azilal, une représentation miniature du dinosaure, alors que celui découvert dans la région est haut de 20 m et pèse 50 tonnes (Ph. JM) Labellisé patrimoine mondial de l’Unesco en 2014, le géoparc M’Goun, 5.730 km2, souffre de nombreux couacs qui sapent l’essence même de ce site. Une grotte vandalisée, des constructions en béton juste en face des cascades d’Ouzoud, une méconnaissance...
Edition N° 5413 | Le 17/12/2018
Dans les montagnes enneigées du Haut Atlas, Zaouiat Ahansal est une commune rurale aux maisons de terre comme il en existe des milliers dans cette région. Encastrée entre des ravins et traversée de l’oued Ahansal, elle semble cependant appartenir à une autre planète (Ph. L’Economiste) Dans le Haut Atlas, malgré les conditions naturelles difficiles, des femmes, épaulées par une coopérative...
Edition N° 5406 | Le 06/12/2018
Chakib Guessous est médecin radiologue et docteur en anthropologie et sociologie politique. Parallèlement à son exercice médical, il mène de front des recherches en sciences sociales qui s’articulent autour de trois thématiques: le droit à l’éducation des enfants, la jeunesse et le célibat et les relations homme/femme au Maroc et dans les pays arabes. Il est auteur d’un certain nombre d’...
Edition N° 5406 | Le 06/12/2018
A travers un essai de 290 pages, Chakib Guessous égrène les différentes unions hors mariage régulier qui ont vu le jour un peu partout dans le monde arabe. Il montre comment les concepts traditionnels s’imposent comme de nouvelles formes de conjugalité Comment les jeunes et les moins jeunes, avec la montée du salafisme dans le monde arabe, se débrouillent-ils pour justifier des relations...
Edition N° 5397 | Le 23/11/2018
Brahim, niché sur les montagnes du Haouz (Ph. JM) Moulay Brahim est une zaouïa et un moussem qui attirent plus de 100.000 visiteurs par an. Le village traîne la triste image d’être un centre de prostitution. La société civile locale est à l’œuvre pour réparer ce tort, et impulser un développement socioéconomique et culturel à la localité. Moulay Brahim en ce mois de novembre 2018 est d’abord...
Edition N° 5387 | Le 07/11/2018
La décharge improvisée à la zone Sarga, à moins de 500 métres de la lagune. A 2 ou 3 km de cette montagne d’ordures, un nouveau écolodge a élu domicile, en 2015 (Ph. JM) Deux points noirs ternissent l’image de Dakhla, une ville pourtant en plein essor touristique et halieutique: le quartier industriel Assalam, et la décharge improvisée à 7 km, à la Sarga, au sud de la ville. En direction du...
Edition N° 5386 | Le 05/11/2018
Le kitesurf, sport roi à Dakhla, grâce aux vagues et au vent, est une niche très convoitée par les investisseurs (Ph. JM) Dakhla intramuros, c’est d’abord un port de pêche, son histoire est étroitement liée à cette activité, et elle le reste encore économiquement. Mais pour les investisseurs marocains et étrangers positionnés sur les sports de glisse, le kitesurf et le windsurf, la ville...
Edition N° 5386 | Le 05/11/2018
Le futur port Dakhla Atlantique sera érigé en eau profonde, sur le site de Ntirift, afin de garantir un meilleur tirant d’eau et d’éviter la zone sud qui est disposée sous forme d’un fjord Deux grands projets structurants sont en cours à Dahkla: le grand port Dakhla Atlantique et le port de Lemhiriz d’une part et l’élargissement de la RN1 Boujdour-Dakhla, d’autre part. Situé à 60 km au nord...
Edition N° 5369 | Le 11/10/2018
Des femmes des douars du Haouz se rendent régulièrement au QG de l’association Tamounte (ensemble en amazigh) pour tisser des tapis à base de bouts et chutes de chiffons (le boucharouite), assister à des cours d’alphabétisation, de broderie, des métiers de tissage... (Ph. JM) «Sans argent, nous sommes comme un oiseau sans ailes». Tel est le constat partagé par les femmes rurales du village...
Edition N° 5364 | Le 04/10/2018
Sidi Kaouki, à 30 km d’Essaouira, l’une de ces plages sauvages les plus fréquentées par les amoureux des sports nautiques, mais aussi par les touristes en quête d’un rivage tranquille ou faire une balade à pied sur le sable, à dos de dromadaire, de chevaux, ou en quad…(Ph. JM) A 30 km d’Essaouira, Sidi Kaouki, une plage sauvage, connue surtout par son marabout qui attire les gens pour sa...